Constance Sylla

*Nom :

Sylla

*Prénom :

Constance

*Age de votre personnage:

15 ans

*Personnalité/caractère/attitude.

Un ensemble, une description ferait sans doute l’affaire pour décrire cette jeune effrontée…
D’un naturel aisé, Constance est tout à fait prévisible, par son nom on peut décrypter toute son attitude. Naturelle, elle reste stable voir insensible à toutes sortes de situations, enjambant échecs, drames ou accidents aussi indifféremment que possible. Lassitude et soupirs s’enchaînent sans difficulté formant un cycle interminable, un cercle parfait. Sociable et taciturne, elle se montre généralement attentive aux autres, loquace à la mesure du possible, elle met à jour la conversation plus aisément que le combat. Opportune et intelligente, elle ne manque jamais les bonnes occasions, quelle que soit la situation… Peut-on pourtant la nommer épicurienne ? Certes oui, au besoin, elle sait tirer profit, oui, comme dit antérieurement, tirer profit de situations avantageuses… Mais profiter serait grand mot en comparaison avec tout ce qu’elle se sait capable de réaliser…Oui, elle est ambitieuse, trop exigeante, probablement, vis-à-vis d’elle-même… « L’indifférence ne fait pas tout quand il s’agit de soi …» elle aime se le répéter sans cesse pour ne pas oublier de ne pas se relâcher…Le travail ne représente pour elle, pas grand-chose, juste une phase de la vie, un devoir, à accomplir. Paresseuse en ses heures, l’étude ne fait pas réellement partie de ses propriétés. Elle se souhaite tout simplement entreprenant, taciturne et réfléchie… Peut on encore dire que cette jeune fille de 15 ans à peine est si prévisible ? Ce mince texte présente tant d’aperçus, de points de vue différents, qu’on peut à peine se situer par rapport à la personne…

*Rp répartition.

Tant de marches gravies, et une multitude de modèles réduits faisait son apparition dans l’immense hall d’entrée de l’école. Parmi tant d’autres petites têtes, une, figée, fixait le plafond, pas bien grande, maigre, des cheveux longs noir sans excès …

Une beauté tout à fait acceptable mais pas assez jolie pour plaire plus que ça. Cet instant lui donnait des airs lunatique, on n’y prêtait pas attention tant l’excitation était de rigueur. Mise appart, elle contemplait le même plafond depuis déjà un petit bout de temps…Les questions circulaient entre les nouveaux arrivants, les possibilités d’aventures inondaient déjà le large hall, étouffait déjà la solitaire d’un jour. Elle ne s’était pas montrée hostile, juste distante pour cette fois, pour cet instant, pour garder en mémoire son arrivée, aussi peu glorieuse qu’elle soit… Un moment, un souvenir sans aucun doute mémorable pour l’enfant…Une voie à la fois puissante et impressionnante mit fin à tant de chahut.

Une grande et fine silhouette se tenait sur le haut des marches, derrière, l’immense porte qui devait probablement mener à l’évènement que tous attendaient impatiemment. Le professeur se prononça en quelques phrases afin de mettre un peu les élèves au parfum. L’excitation se faisait de plus en plus croissante tandis que la même jeune fille attentive de l’oreille n’avait pas cessé de regarder vers le haut. On aurait réellement pu croire à un sort ou à un handicape tant la démarche pouvait apparaître à certains, bizarre… Après quelques instants de magie… On laissa les élèves derrière le professeur faire leur entrée dans la grande salle. La salle dans laquelle, où allait se dérouler repas et festivité du château.

La jeune fille avait suivi indifférente le bataillon, en avançant dans la salle, son étonnement fut de consistance, le plafond, il était bien différent de tout ceux qu’elle avait pu voir jusqu’à présent. Oui, elle le savait, qu’importait un plafond? Rien, juste une vue de plus, juste une différente impression en se levant tous les matins, un autre jour, un autre temps… Mais pourquoi s’en soucier ? Elle s’en rendait vraiment compte à présent, elle rentrait dans la nommée, meilleure école de Sorcellerie, avec comme dirigeant le prétendu meilleur sorcier de touts les temps :Albus Dumbledore… On était bien loin d’un despote éclairé. Poudlard avait apporté en cet instant un tout autre aspect de vie possible, de nouvelles résolutions, un nouveau rêve…

Ses pas légèrement perdus, la menèrent devant la table centrale située au fond de la salle. Au milieu de celle-là, assis sur un siège royal, Albus Dumbledore, le directeur. Devant, un tabouret, derrière les élèves, 4 tables, 4 maisons, 4 sortes de nouvelle vie. Et l’une d’entre elles serait la sienne. Le nouveau foyer de touts les espoirs…Le sourire lui vint et reprenant conscience de sa présente situation, elle se mit à explorer chacun des recoins de la salle. Une remarquable ou plutôt imposante voie l’arrêta dans sa démarche, un discours allait se faire.

Un discours habituel et redouté pour les « anciens », ils n’avaient plus qu’à s’apitoyer sur leur sort. De son côté, Constance n’y prêtait pas fine oreille… Ce genre de mise au point l’embêtait un peu, et puis, elle le savait, c’était la même chose partout. Même à Poudlard le règlement faisait l’unanimité…
Et puis le Choixpeau, dans les mains du professeur à la silhouette maigre, fit son apparition, chantant une chanson, sûrement de sa création qui décrivait la répartition ainsi que les maisons…

Elle n’avait plus qu’à attendre son tour…On fit appel par ordre alphabétique. Quand elle entendit vers la fin prononcer son nom : « Sylla ». Elle s’avança avec zèle, s’installa sur le tabouret comme les autres et attendit le verdict. Le verdict qui déciderait où elle passerait 7 années à Poudlard, un verdict qui allait certainement lui révéler qui elle était ou qui elle pouvait être. Le Choixpeau se prononça quand elle ne s’y attendit pas :…

- Pouffsouffle, of course !